Dans un monde où la liberté́ n’est plus qu’une illusion, ou la mondialisation rime avec immondialisation, où les êtres humains vivent d’apparence et d’hypocrisie, la course à la gloire et l’avoir est notre seul combat. Bienvenue dans un monde de l’idiocratie.

Pour se repentir d’une peccadille, Glapieu, un fugitif recherché par la police, va tenter d’aider une famille au bord de la faillite. Mais l’arrivée de Rousseline, un Richard III de notre époque, ne va pas lui rendre la tâche facile. Un combat entre le mal et le bien va en découler. Glapieu, ce voyou, mal vu par la société, va tenter de défendre ce qui pour lui est bon et juste. Mais alors, est-ce pour se repentir ou simplement par pur humanité́ ?

Cette adaptation du texte de Victor Hugo dresse un portrait d’une société à deux vitesses où le mal que l’on couronne et qui triomphe nous emmène à notre perte. Ce comble d’une absurdité tragique peut au moins nous faire rire… Entre Napoléon et Kim kardashien il n’y a peut-être pas tant de différence.