Et si je n’avais jamais rencontré Jacques Higelin

     21 mars 2024   20h   Théâtre-Musique   PT: 20 € / TR (Etudiants et demandeurs d'emploi): 15 €   55 min   A partir de 15 ans   
    Ecriture
    Zoon Besse et Guillaume Barbot
    Avec
    Zoon Besse
    Mise en scène
    Guillaume Barbot
    Direction musicale
    Pierre-Marie Braye-Weppe
    Regard dramaturgique
    Agathe Peyrard
    Compagnie
    Coup de Poker
    Contacts
    ciecoupdepoker@gmail.com
    Soutiens

    Le CentQuatre, Les Studios de Virecourt, le Département de Seine-et-Marne 

    Il y a des rencontres qui changent une vie. Pour Zoon, ce fut Higelin.

    Il a quinze ans, il vit dans un petit bled paumé, nous sommes en 1976, Giscard joue de l’accordéon dans les campagnes françaises et lui fait la rencontre du chanteur dans la chambre d’une fille… Dès le premier morceau sur le tourne disque, c’est une déflagration, il veut faire Jacques Higelin comme métier.

    Portraits de Zoon et du grand Jacques, c’est aussi le portrait d’une génération – punk, révoltée et insouciante – au regard de notre époque : est-ce possible d’être Higelin aujourd’hui ? Zoon nous replonge dans 30 ans de nuits folles d’amitié avec sa famille d’adoption, sa « bande à Higelin ». Un récit pudique et insolent. Quand l’intime touche à l’universel, quand les airs d’une chanson se glissent dans nos quotidiens, quand on prend le risque d’être celui que l’on est vraiment.

    Co-production: Centre Culturel l’Imprévu de Saint-Ouen l’aumône

     

    La presse en parle

    “Guillaume Barbot sait l’art de rendre proche l’insaisissable” Fabienne Pascaud, Télérama

    “Pas besoin d’être un fan d’Higelin pour apprécier ce récit, car c’est le portrait d’une génération désenchantée, d’une jeunesse insouciante qui a juste pour ambition de ‘gueuler l’amour jusqu’au larsen’.” Thierry Voisin, Télérama Sortir

    « … cette prise de parole face au public expose sans détour que quelqu’un peut écrire une partie de votre vie. » Laurent Goumarre, Libération

    “Il est très touchant, Zoon Besse...” Mathieu Perez, Le Canard Enchaîné