Une forme très simple et en proximité avec le public
Une lecture dans toute l’acception du terme
Une recherche de l’intimité de ces deux langues
A partager au plus juste avec l’auditoire.
Dans la promesse de l’aube, un adulte nous raconte son enfance avec sa mère.
Il est au soir de sa vie, et sa langue est celle d’un homme qui a connu les tremblements du monde
Dans la vie devant soi, un enfant nous invite à partager son éveil au monde
Et sa langue est celle d’un gosse des rues de Belleville
Les textes des deux romans s’enchaînent et se répondent
Voix masculine avec Gary, voix féminine avec Ajar.
La musique génère son espace de respiration, de rêverie
Dans un dernier texte issu de La vie devant soi
Le dialogue se fait presque théâtre
Et les deux voix se conjuguent