Flat/grand délit et Cristina

 06 juillet 2015   10h15   Danse et pratique urbaine   15€-10,50€-7€   1h10   Tout public     2015 
Flat/grand délit & Cristina
Compagnie
Cie Yann Lheureux

visuel site yann lheureux - site
Deux soli, deux portraits.

Avec Flat/grand délit, l’homme et le BMX s’associent dans un duo-duel alliant figures d’exploits et poésie.
Une partition surprenante et singulière qui réunit deux horizons : danse et pratique urbaine.

Flat/grand délit
3ème solo du triptyque FLAG
Conception, chorégraphie : Yann Lheureux
Interprète BMX : Vincent Warin
Création sonore : Yann Lheureux
Création lumières : Serge Oddos
Production : Cie Yann Lheureux – Ass. Être en Scène
Coproduction : Festival Montpellier Danse 2014, Montpellier, Le Merlan – Scène nationale à Marseille, CND (Centre National de la Danse), Pantin, Soutien et accueil en résidence, Chorège / Relais culturel Régional du Pays de Falaise, ADAMI, Spedidam
Remerciements : Le Gymnase / CDC de Roubaix

Cristina est un récit.
Yann Lheureux dresse ici un portrait saisissant de l’américaine Cristina Hall, interprète Flamenco vivant à Séville. Prodigieuse, elle retrace, recrée son chemin, interpelle et questionne son origine, sa pratique et culture d’adoption.
Nous la saisissons à un moment particulier de sa carrière, de sa vie. Un virage, une volte qu’elle négocie en direct avec éclats et sincérité.

Cristina
1er solo du triptyque The Rare Birds
Conception, chorégraphie : Yann Lheureux
Interprète Flamenco : Cristina Hall
Montage sonore : Yann Lheureux
Création lumières : Catherine Noden
Création costumes : Jorge Ayala
Production : Cie Yann Lheureux – Ass. Être en Scène
Coproductions : Espace Germinal – Scènes de l’Est Valdoisien, Fosses, Ville de Mauguio Carnon, Ville de Villiers-le-Bel,
Théâtre Jean Vilar de Vitry-sur-Seine
Soutien et accueil en résidence : Agora, Montpellier Danse
Avec la collaboration exceptionnelle du designer et architecte Jorge Ayala pour la conception et la création des costumes.

Relâche les mercredis.

La presse en parle
“Vincent Warin, champion de France et vice-champion du monde n’a rien perdu de sa technicité, ce qui lui permet de la dépasser pour aller vers la danse et un univers poétique où l’enfance a toute sa part de joie et de mélancolie, sans nostalgie.” Libération